Tout en vous écrivant ces quelques lignes, je suis en train de regarder un film à la TV : Benjamin Gates et le Trésor des Templiers.

Au début, je me suis dit "Hooouuuuulà !" et puis finalement, ce n’est pas si mal que ça, même si le jeu surfait de Nicolas Cage m’agace un peu.
A moins que ce ne soit Bichette, qui saute sur son pouic-pouic comme une sauvage, m’empêchant ainsi d’entendre le quart de la moitié des dialogues !

En gros, Nicolas Cage appartient à une famille qui a une lubie : trouver le trésor des templiers. Et ce depuis son arrière, arrière grand-père.
En grandissant, Nicolas-Benjamin continue les recherches familiales et cet aventurier moderne aidé de ses amis découvre un indice qui les mène jusque ….. au dos de la déclaration d’indépendance des Etats-Unis où une "carte au trésor" serait inscrite

Le voilà donc avec 2 solutions : avoir le droit d’étudier ce document si précieux (il est absolument évident que n’importe quel péquin qui se présente en demandant à la voir et à faire des analyses dessus va être reçu à bras ouverts !) …… ou la voler.
2 secondes pour décider et hop, il organise un casse qui se réalise sous l’oeuil révolté d’une blondinette blablateuse responsable de la conversation du manuscrit.
(Elle cause tout le temps et c’est limite si cela ne file pas des migraines à notre héro ! hi hi hi)

Le couac ??? Le piment de l’histoire ?? Ben il n’est pas le seul à vouloir la voler !
L’acteur Sean Bean, qui interprête un certain Ian, s’y intéresse aussi.

Là où j’en suis ils ont réussi à piquer le document …. en smoking …. on a la classe ou pas ….. et ils s’en vont avec toute la maréchaussée à leurs trousses trouver une planque pour voir si leur indice avait raison ou non.

J’ai oublié de vous dire qu’au début du film, Benjamin se fait expliquer par son grand père un certain nombre de choses sur les templiers et ceux qui seraient leurs successeurs, les francs-maçons.
Ce qui m’a fait tilté sur le sujet de mes prochaines lectures dans le RER. Je n’ai exploré le côté templier que sous la forme d’une roman mais jamais sous l’angle historique ou scientifique. Et je n’ai jamais abordé celui des francs-maçons.