Photo 1 : Bichette, debout contre moi, je prends la photo de la patoune par le dessus. Pas facile elle gigotte ! vue sur la cicatrice
Coucou, nous revoilou !! De retour de chez le vétérinaire …… où Bichette a été franchement infecte contrairement à son habitude.
Nous avons dû nous mettre à 3 pour la bloquer, un utilisant muselière, collier …. Et j’ai même failli sortir le collier étrangleur pour la calmer.
VétoChoue n’a pas voulu utiliser de sédatif pour étourdir Bichette parce qu’elle n’aura pas été bien après et que ça a aussi d’autres répercutions sur la santé de ma toutoute.
Enfin, je devrais dire le petit démon poilu. Parce que VétouChoue lui a quand même faire remarquer qu’elle devait arrêter son cirque et sa comédie au risque de se prendre une grosse fessée si elle n’écoutait pas ! (Ben oui mais elle avait un peu mal et peur aussi …..)
Les gros ciseaux sortis, et le pansement enlevé, VétouChoue n’a rien constaté de problématique à la palpation. Tout va donc théoriquement bien.
Elle m’a prescrit de l’éther pour lui nettoyer la colle de l’élastoplast qui reste, j’ai de la crème apaisante et cicatrisante, et un petit coup d’antiinflammatoire antalgique pour calmer la poupounette.
Normalement elle devrait se mettre à se resservir de sa patte d’ici très peu de temps.
Pour limiter les dégats de la colle, Bichette a eu droit en plus à un sérieux coup de tondeuse sur le haut de la cuisse. Tout ce que la véto a pu nettoyer ainsi pour enlever la colle sèche a été tondu.
La vétérinaire attribue la boiterie à : une lourde opération, un immobilisation forcée de 3 semaines, une patte qui a fortement maigrie, une habitude de ne plus se servir de sa patoune, une irritation forte de la peau dûe à l’élastoplast.
Elle me demande toutefois de surveiller le monstre et de retéléphoner si les suites opératoires n’allaient pas mieux.
Photo 2 : Bichette, allongée sur le tapis, vue sur la cicatrice
En sortant de la clinique il fallait carrément tirer sur la laisse car Bichette voulait se croquer le jambonneau. C’était limite si je ne la trainait pas sur les fesses !
En passant par le petit parc elle a piqué un springt tout heureuse d’avoir sa patoune et d’un seule coup hop boiterie. Pas le genre douloureux mais plutôt le genre "psychologique" : "ah oui c’est vrai j’peux pas, y’a ma patte qui est emballée"
Roulage de dingotte dans l’herbe en grognant et en aboyant comme jamais
Je vous rassure je n’ai jamais lâché la laisse car pendant encore 1 ou 2 semaines, je tiens à la voir marcher "sous observations" et gentiment histoire de ne pas se faire mal.
Et en rentrant à la maison elle marchait un coup en s’en servant, un coup sans s’en servir.
Photo 3 : Bichette, allongée sur le tapis, vue sur l’interieur de la patte et du ventre pour vous montrer les dégâts causés par l’élastoplat – C’est bien irrité hein ?!
Là je vais la laisser tranquille le temps de manger tout en lui administrant son antalgique-antiinflammatoire.
Après je lui saute sur le poil pour lui nettoyer ce que je peux à l’héter, même si je vais devoir m’y reprendre je pense en plusieur fois sur la semaine. On verra.
Et SI elle va bien, j’en profiterai pour rincer l’héter (c’est quand même toxique ce machin là) en lui donnant un bon bain. Si elle est trop réticente le bain sera reporté à demain matin
Je programmerais le côté toilettage / tonte selon son humeur dans la semaine. L’important étant dans l’intérêt hygiénique de sa guérison qu’elle soit "propre" pour l’instant.
Commentaires récents