Avez vous déjà essayé de parler à votre Homme de tout et de rien ?
L’attitude du mâle face à la question de sa chère et tendre est invariablement la même : Il a l’air d’écouter mais en fait il s’en fiche totalement !
Avez vous déjà entendu les remarques de ces messieurs "La femme est un être bizarre et totalement incompréhensible"
Bref, communication Homme / Femme, c’est pas ça !
On pourra nous dire qu’ils ont 1 neurone et nous 2, il y’a quand même un truc, une grosse différence, un couac à la base.
Pour les explications dans le texte, je recommande encore une fois la série très bien faite de bouquins "On n’est pas des courges" (voir rubrique : Lecture pour nana)
Pour le côté rigolo de l’explication, quelqu’un m’a envoyé cette photo-blague.
Maintenant plus de raison de se disputer, sur "comment que cé ti qu’on fonctionne", il n’y a qu’à regarder le schéma ha ha ha
Réponse de TontonPoète
J’ai envoyé ma petite photo à un certain nombre de personnes afin de voir les réactions.
Voici celle de TontonPoète :
S’il y a quelques vérités, pour les autres hommes ceci ne me concerne en rien.
Mon cerveau à moi est parfait. Il n’est ni étroit, ni borné, ni mou, ni brûlé, c’est un cerceau puissant, bien organisé. Ce n’est, certes pas » une cervelle de canut » Mon cerveau est plein de talents, sans être un « génie, et, pourquoi pas Il ne me reste pas assez de superlatifs pour le qualifier.
Aïe, Aïe Aïe mes chevilles
Taraine qui vient de lire ce que j’écris clame tout fort » tu parles, tu parles dit toujours » j’ai comme l’impression qu’elle ne croit pas tout ce que je dis, alors, courageusement, je suis forcé de m’incliner. Cependant mon inconscient serai presque en plein accord avec ce que je pense de moi
Je vais cesser de raconter des balivernes car les un et les autres avons nos qualités et nos défauts et c’est tant mieux
Réaction Clochettienne …..
Soit heureux TontonPoète, tu viens de nous démontrer que tu es bien ……….. un homme !!! hi hi hi
(allez Tarraine, un peu de solidarité féminine)
Toute blague mise à part, je pense comme toi que nul n’est parfait en ce monde et que ce sont ces qualités et ces défauts qui nous diférencient (heureusement) mais qui nous permettent également de vivre en commun, et de nous faire progresser dans bien des domaines…….
Si on va par là : Alors à quand un « anti-héros », un « prince pas charmant » pour une clochette qui tient plus du petit lutin que de la fée ???
(non je n’irais pas jusqu’à dire Korrigan car de mémoire ils sont laids et si je ne suis pas un canon je ne pense quand même pas être si pas si tarte que ça).
Re Réponse en poème du TontonPoète
Alors là vous voyez ça m’énerve, et c’est pour ça que j’ai choisi de publier la 2è réponse !!!
TontonPoète a une plume magnifique et je passe des heures très agréables à le lire. Mais lui trouve toujours moyen de dire que la dite plume ne l’est pas tant que ça……
Hé ho tonton, tu abuses un peu là …. Tu écrits TRES TRES bien. Bon nombre d’entre nous ne seraient pas fichus d’en faire autant !
Enfin bref amis lecteurs, je vous laisse seuls juges de la réaction Tontinesque à ma réponse.
Réaction qui était d’ailleurs accompagnée de ces quelques mots de l’auteur :
« Ce truc ci-dessus n’est pas bon, fait rapidement, tel que les mots me venaient. Il y a un certain emps, j’aurais dit que j’avais laissé courrir mon stylo sur ma feuille, maintenant ce sont mes doigts sur le clavier. »
Voilà la chose (désolée pour la mise ne page Tonton, je ne peux pas trop faire ce que je veux)
C’est un bel hommage non ?
Oh oui, avec ses qualités et ses défauts, je suis un homme
Croire que nous avons nos supériorités la pensée foisonne
Mais dans la réalité il y en a toujours une qui nous pardonne
Et nous laisse penser que, sans doute, nos idées sont bonnes
A l’école, nous les gars, chahutions pour notre force : les filles!
Nous les costauds, par nos jeux brutaux bousculions : les quilles,
Mais, à dix sept ans, quand une nous regardait, finies les billes !
Si une fois, elle regardait un de nos amis c’était nous les billes.
En fait, dans la relation homme-femme, c’est elle seule qui gagne,
Bien que croyant l’inverse, pour elle nous gravirions des montagnes
Puis, un jour, quant elle l’a décidé, pour le garçon c’est cocagne,
Fier, bataille gagnée, jeune coq, ne te prend pour Charlemagne.
Tu vois, Helene, la supériorité sensée de l’homme est trés relative,
Battus, que nous sommes sur le terrain journalier de la vie active,
Nous les forts, les puissants devant elle sa faiblesse nous motive.
Et la vie, à tout instant, nous oblige à plier sous cette force chétive.
Et là, tu demandes aux hommes que tu connais à ce sujet, la réaction.
Eux, les hommes, au travail , les patrons, tout ces hommes d »action
Chez eux, dans leur foyer, en vérité, où est le chef ? est la vraie question
Sans bruit, pleines de gentillesse, sous elle : il plie loin de ses ambitions