Cette année, nous avons décidé de changer de région de villégiature.
La Bretagne est magnifique et nous y avons des amis avec qui nous passons de supers moments, c’est également la région d’origine de Gizmo, mais nous avions envie de visiter une autre région.
Heavenly ne connaissait pas bien l’Alsace, et moi, mes souvenirs du coins ont du mal à faire surface.
En fait, tout est parti de l’émission de Stéphane Bern, « Le plus beau village de France », que nous avions regardé en 2013.
Zhom et moi la regardions et quand c’est un village Alsacien qui a été élu, Zhom a déclaré « je ne connais pas bien l’Alsace, c’est vrai qu’il est joli ce village »
Hop …. Voilà l’idée. J’ai donc inclus Eguisheim et l’Alsace dans mes propositions de ballade estivale.
Nous voici donc arrivée dans ce beau lieu, hautement coloré et touristique.
Les commerçants et résidents sont très sympathiques
Nos congés ont pourtant mal commencés.
Sur 3 semaines, la première que nous avions choisi de passer à la maison a été intégralement noyée par les pluies fortes et incessantes. Impossible de nous occuper du jardin, et notre potager crie au secours !
La deuxième s’annonçait mieux : la météo, bien que fraiche, s’annonçait ensoleillée.
C’était sans compter sur les impondérables. Nous arrivons à notre résidence de vacances, déchargeons les valises et décidons de repartir faire les courses (on avait juste un minimum pour 2 jours en cas d’arrivée tardive ou de fatigue), et VLAN … plus de marche arrière et la voiture qui part sur un plateau !
Et comme nous arrivions le samedi soir, la voiture est immobilisée dans un hangar jusqu’à lundi matin où elle sera déposée chez garagiste …. et immobilisée jusqu’à … allez donc savoir !
Heureusement, la visite du village est magnifique à faire (et il y a un minimum de petits commerces pour nous dépanner), le dépanneur est arrivé rapidement (merci EuropeAssistance !), et d’après lui ce serait juste la tringlerie qui a lâché et pas un pignon. Donc moindre mal et probablement moindre coûts.
Nous en saurons plus lundi …..
J’espère quand même que je pourrais poster autre chose que cet idiotie de problème de voiture !! D’autant que la connexion internet est plus que désastreuse. Je ne sais pas du tout quand je peux me connecter. Grrrrrr
J’ai trouvé mon bonheur (enfin … celui de mon chien) sur 
Autour de notre nouveau chez nous, il y a plus de chemins un peu caillouteux, de grands parcs, que de routes goudronnées. Nous avons donc décidé de prendre des VTC i e vélos tous chemins pour ceux qui ne connaissaient pas. (disons aussi que j’ai un peu poussé)
Nous hésitions avec un vélo « polyvalent » mais les dérailleurs et autres pièces d’usure sont de meilleurs qualité sur un VTC. Disons que sur le premier c’est pour du très occasionnel, et l’autre, du plus courant pour non sportif.
sympathiques et qui s’accrochent a l’arrière du vélo.
Il y a quelques semaines, notre ancienne commune étendait son marché campagnard dans les rue du centre ville.
Petite photo de la ballade dominicale avec la toone.
Le casse-croute est avalé, et il nous faut redescendre du lac bleu.
Donc c’est décidé, nous redescendrons par « la Loze », entendez par là, en faisant le tour de la montagne, en suivant la route. Pas glorieux sportivement parlant, mais on s’en fiche, on est en VACANCES !
sur la terrasse du chalet restaurant « La Soucoupe », qui se trouve au pied du télécabine Loze-Crête, malheureusement fermé en été. Ayant le vertige, je ne peux pas m’approcher autant au bord que lui. Je sais, avoir le vertige et faire de la randonnée en montagne, y’a pas plus crétin !
Profitez donc du paysage au lieu de taquiner la Clochette !
nôtre de Biquette vient de choisir. Suivons le guide, nous passerons donc par le petit chemin serpentant. Pas de regret par ce qu’une fois que c’est parti, pas de retour possible, il faut aller jusqu’au bout.
Il n’a jamais pris de cours de photo, il appuie sur le bouton quand il trouve ça beau, tout simplement.
Nous passons au dessus du lac qui se situe dans le parcours de golf. Le chemin est encore long mais la photo est belle.
sommes, en randonneurs nous rentrerons à la maison. Nous continuons donc sur un petit chemin …. qui n’a pas l’air d’avoir vu passer grand monde depuis un bout de temps, ou alors que des locaux !
la descente histoire de moins me fatiguer. La sciatique d’Heavy se réveille. Tu parles de vacances et de deux éclopés !
pieds.
…. Heureusement qu’il y avait les petites fleurs de montagne, l’air pur et les vues splendides !
Bon allez fini de se plaindre il faut aller chercher les sandwichs crudités chez le boulanger, pas le temps de les préparer à la maison. Douches, chaussettes, gros petits déjeuners, godillots, crème solaire, sacs a dos, Bob et casquettes …. Pas oublier les cartes de remontées mécaniques.
Le chemin commence doucement et puis une montée de plus en plus raide et caillouteuse. Il fait chaud et Heavy ne semble pas avoir regardé la carte avant de partir. Le lac est en haut de la montagne et donne sur le versant de Meribel. On commence a peine que je suis déjà essouflée et que Bichette cherche à se mettre a l’abri sous mon ombre.
Je râle , peste et ronchonne après le chéri car je ne me sens pas assez en forme pour monter et ses « mais ce n’est pas si loin que ça » m’agacent au plus haut point.
e souffle est toujours court et Heavy continue de s’étonner de cette montée. J’lui pique les fesses maintenant avec mon bâton ou j’attends un peu ?!
Allez ma Clochette, shoote dans le popotin du chien pour le faire avancer (elle nous la joue boulet blanc et blanc boulet), et grimpe. Plante le petit bâton, pousse sur la chaussure, lève l’autre….aaaaalllez !
qu’il devenait un peu praticable, tu parles ! C’est car
Ahhhh ouf, ça y’est, enfin en haut, ça s’arrondis, ça devient même plat et tout gazonneux. On va enfin pouvoir se reposer, boire un petit peu et manger nos sandwichs.
Parait qu’il est bleu, beau et qu’on pêche des poissons sympas dedans.
Dire qu’il faut arriver à 2230m d’altitude pour se subir des vrais cons ! Heureusement qu’il y a le paysage (ouais, enfin celui des vallées parce que le lac hein …)
des remontées mécaniques des Chenus. La remontée est fermée pour l’été et il n’y a pas grand monde. C’est du reste étonnant car aux Ménuires il y avait bien plus de gens présents que ça. Là si vous vous foulez une chevilles, il n’y a pas grand monde pour vous regarder. Les refuges sont archi-vides. Comme nous sommes prévoyants, nous avons pris tout ce qu’il fallait avec nous (avec l’intention bien sûr de ne surtout pas avoir à s’en servir) mais ça nous servira de leçon pour les prochaines randos : « débrouillez vous tout seul ! »
Autre particularité du coin, les touristes français ou étrangers ne sont pas causants. L’année dernière les relations de passage étaient bien plus chaleureuses. C’est vraiment étrange Courchevel, mais la nature y est magnifique !
pu prendre un peu le manche à balai car nous avions signalé qu’il avait pris des cours de pilotage, même sans être allé jusqu’au brevet.
Je n’ai jamais aimé les montagnes russes et j’avoue avoir un peu peur de la descente.
Le petit cesssna dévale la pente et décolle à 1/3 de la piste avec une douceur exceptionnelle. Mes souvenirs de vol sur un aérodrome parisien plat ne correspondaient pas à ça !
occasion pareille le chéri ! Même si le palonnier et le compensateur vont être toujours sous contrôle de notre gentil pilote de l’aéroclub.
l’année dernière en congés. Tiens ?! Le lac du Lou !!! (ben quoi, je fais ma touriste !)
« son petit coin de bonheur », une piste courte en herbe en plein milieu de la montagne. Perchée là où on ne l’attendrait pas. On la distingue à peine par la couleur de l’herbe.
l’occasion. On passe au dessus, assez bas, et on bat gentiment des ailes pour saluer le copain pilote en dessous de nous.
La pendule tourne, il faut rentrer.
La tour répond que la piste est dégagée et que l’on peut y aller.
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