Comme vous avez pu le lire, je change de travail.
Et bien voilà que ma petite idée donne des obsessions, des idées fixes, à certains : faire un "POT"

Depuis plusieurs semaines déjà, ChefVénéré, MissMélie, et ChefReport me tannent pour que je fasse un "POT" sous prétexte que ce n’est pas parce que moi je m’en vais et que je ne suis pas pot, que "je n’ai pas de pot" (et j’en passe d’autres du même genre) que les autres ne doivent pas pot-ter eux !!!

Bref on m’accuse (lâchement) de me défiler et de les empêcher de "boire un schti coup". Genre : en plus je les prives et que c’est la honte intégrale !

Alors voilà, je récapèpète au risque que ChefVénéré pique "une crise" et se mette à avoir le click sauvage sur le bouton "poster un commentaire" à ce billet :  non, non , non, ça sera sans fleurs ni couronnes ! merci.

Je participe rarement au pot des autres, je vais pas me mettre à faire ce truc là pour moi.

(en plus je ne tiens pas la chopine, ça ne serait même pas drôle)

Je sens que ça va déPOTer au niveau des réactions à ce petit mail : alors allez y lâchez vous si ça peut vous soulager (hi hi hi). Vous pouvez causer, Miss Clochette vous écoute (mais ne pliera pas ha ha ha).

1/ Franchement j’aime bien tout le monde (si si), mais les pots ce n’est vraiment pas mon truc !! (et pis j’ai pas envie qu’on me vois verser ma petite larme, na !)

2/ j’vous laisserais l’adresse de mon "bloug" comme ça vous pourrez plein de message vachement réac rien que par vengeance !

3/ approchez pas sinon je lâche mon chien de garde sur vos mollets (mais non Bichette, arrêtes de faire des léchouilles à tous ces mécréants !!! mais qu’elle est truffe celle là !!!)

Allez une petite blague débile pour finir : Où les POTes vont, les POTirons   hi hi hi

Tchin et à la revoyure !

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  1. Chef vénéréNo Gravatar dit :

    Cent fleurs

    Ha ! ce sacré Confucius qui disait que lorsqu’on se heurte à un pot et que cela sonne creux, cela ne veut pas dire que le pot est vide.

    Et toutes ces histoires qui font peur : Perette qui a perdu ses bestiaux, les deux pots qui sont partis comme des potes mais si mal assortis que l’un d’eux en a souffert, et cet Octave Mouret si peu ragoutant…

    Je comprend ton hésitation, mais rien de mieux que vider un pot pour retrouver de l’aisance, et pas besoin de le mettre au feu.
    D’accord, on refuse les poules, il ne faut pas qu’il soit pourri. Ok on reste entre amis, donc pas de chichi, (et qui sait Jack sera peut-être là).
    Alors cesse de tourner autour, et même si on le vide en 2 coups de cuillère, pense que c’est à ce moment là que tu saura vraiement tout le bien qu’on pense de toi. Après ce sera un pot tard.

    Une larmichette ? et alors ! Les larmes sont les pétales du cœur dit P Eluard

    Je ne résiste pas pour conclure, à cette petite histoire, chinoise bien sur.

    Une vieille dame chinoise possédait deux grands pots, chacun suspendu au bout d’une perche qu’elle transportait, appuyée derrière son cou.
    Un des pots était fêlé, alors que l’autre pot était en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d’eau. À la fin de la longue marche du ruisseau vers la maison, le pot fêlé lui n’était plus qu’à moitié rempli d’eau.
    Tout ceci se déroula quotidiennement pendant deux années complètes, alors que la vieille dame ne rapportait chez elle qu’un pot et demi d’eau.
    Bien sûr, le pot intact était très fier de ses accomplissements. Mais le pauvre pot fêlé lui avait honte de ses propres imperfections, et se sentait triste, car il ne pouvait faire que la moitié du travail pour lequel il avait été créé.
    Après deux années de ce qu’il percevait comme un échec, il s’adressa un jour à la vieille dame, alors qu’ils étaient près du ruisseau. « J’ai honte de moi-même, parce que la fêlure sur mon côté laisse l’eau s’échapper tout le long du chemin lors du retour vers la maison. »
    La vieille dame sourit : « As-tu remarqué qu’il y a des fleurs sur ton côté du chemin, et qu’il n’y en a pas de l’autre côté ? J’ai toujours su à propos de ta fêlure, donc j’ai semé des graines de fleurs de ton côté du chemin, et chaque jour, lors du retour à la maison, tu les arrosais.
    Pendant deux ans, j’ai pu ainsi cueillir de superbes fleurs pour décorer la table. Sans toi, étant simplement tel que tu es, il n’aurait pu y avoir cette beauté pour agrémenter la nature et la maison. »

    A+

  2. Clochette93No Gravatar dit :

    alors là j’avoue que cela me laisse sans voix pour la qualité de l’écriture et de son contenu……

    ça va me manquer tout ça

  3. Clochette93No Gravatar dit :

    ah j’allais oublier : « SNIF »…… c’est pas gentil de me faire pleurer comme ça ! J’suis une émotive moi !

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